La bague Éléphante est faite avec plusieurs cailloux de quartz fumé naturellement. En son cœur, de petites perles de péridot sont relevées par quelques perles blanches. Vous l’aurez peut être deviné, mais je l’ai appelée l’Éléphante pour son gabarit imposant. Et oui je sais « éléphante » ça n’existe pas, mais pourquoi Madame l’épouse de l’éléphant ne pourrait pas avoir sa propre dénomination ? Voilà le problème résolu !
Cette pierre que j’ai acheté telle quel, est en labradorite. La face visible sur cette photo est polie ce qui accentue joliment les reflets métallisés de la pierre. Les autres parties sont laissées brut. J’ai baptisé cette bague La Pointe parce qu’elle me rappelait des pointe de flèche préhistorique en silex.
Cette bague est un amoncellement de corail naturel, que l’on appel aussi le corail bambou.
La Vaporeuse semble sortir des anciens trains à vapeur, avec des petites perles blanches qui réveillent les tonalités, comme le ferait les perles de gouttes de vapeur transformée. Cette bague est montée sur un large anneau en forme de feuille en vermeil à 3 microns d’or.
Voici la bague Bosquet. Entre le bois sculpté en spiral et le vert modulé des péridots, cette bague me projette à l’orée du bois.
Et enfin, voici la fleur bleue. Je vous rassure tout de suite, j’ai remarqué que la fleur en question n’était pas bleue ! C’est à l’expression que je pensais en la nommant ainsi. D’un coté une grosse fleur inégale en émail sur argent. De l’autre, une petite montagne de perles blanches baroques. Elle me fait penser à l’aspect désuet de l’amoureuse romantique.